INTERSYSTEMS - Number One

 Le syndrome de la page blanche. La noircir sans but. Echapper au contexte. Impossible. A moins d’être de marbre. Ou sans esprit. Deviser sur Intersystems. Ou sur n’importe quoi d’autre. Tout sera irrémédiablement parasité. Rien ne parviendra à exister, sans reflet du jour naissant. Il faudrait savoir mettre de côté. Selon le poids de ce qu’il faut remiser, ça penche de plus en plus. Se mêlent les images, les informations. Interférences multiples et mortifères, qui brûlent l’optimisme. Rien à faire, ça ne passe pas. Ce n’est pas le syndrome de la page blanche. C’est la perspective du lendemain, qui pour l’heure, gomme la moindre envie, la moindre idée. Nihilisme désincarné.

 


 https://www.youtube.com/watch?v=yvgAdeU2cjs

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